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Tim Burton

Fiche

Nom : Timothy William Burton
Né le : 25 août 1958 àBurbank, Californie, États-Unis
Nationalité : Américaine
Professions : réalisateur scénariste et producteur

Biographie


Aîné des deux fils de Jean et Bill Burton, Tim Burton passe l'essentiel de son enfance en solitaire, se considérant lui-même comme un introverti. Au soleil de la Californie, dans sa ville natale de Burbank, qu'il définit comme l'antichambre d'Hollywood, il préfère les salles obscures des cinémas où il voit et revoit les films de monstres comme Godzilla, Frankenstein et ses nombreuses suites, les films de Hammer Film Productions, et surtout ceux avec Vincent Price. Très doué pour le dessin, il gagne un concours organisé pour décorer les camions de la ville. Après le secondaire, c'est naturellement vers l'animation que Burton se tourne en l'étudiant au California Institute of Arts. En 1979, il est embauché par les studios Disney et travaille sur les concepts de Taram et le Chaudron magique. Avec toute la meilleure volonté du monde, Burton ne parvient pas à dessiner ce que le studio désire. Durant cette période, il réalise plusieurs courts métrages, dont Vincent (1982) et Frankenweenie (1984), mais aucun n'eut l'accord de la direction de Disney pour une distribution.

En 1982, Burton reçoit 60 000 USD pour réaliser, à partir du scénario qu'il a rédigé, Vincent. Julie Hickson, exécutif chez Disney, et Tom Wilhite, responsable du développement créatif, sont persuadés du potentiel créatif du jeune homme. Cerise sur le gâteau, Vincent Price, son idole, est le narrateur de ce petit dessin animé. Rick Heinrichs, collègue de travail et spécialiste de l'animation, travaille sur le projet. Il participera à presque tous les futurs films de Burton. Les cadres du studio sont effrayés par la noirceur de ce court métrage de seulement cinq minutes, et le mettent au placard. Il ne sortira qu'en complément de programme de L'Étrange Noël de monsieur Jack en 1993. Néanmoins, ils reconnaissent à Burton un certain talent. Aussi, il est choisi pour mettre en scène un court métrage un peu plus long, avec des acteurs et des décors réels : Frankenweenie. Même résultat artistique et même conséquence. En 1984, il quitte les studios Disney.

La chance lui sourit en 1985. La firme cinématographique Warner Bros. a passé un contrat avec l'acteur Paul Reubens qui incarne Pee-Wee Herman, sorte d'enfant dans un corps d'adulte, pour réaliser un film dont il est la vedette. Tim Burton parvient à décrocher le poste de réalisateur. Avec un faible budget, Pee-Wee Big Adventure n'est pas l'une des priorités du studio. Mais le film est réalisé en moins d'un mois, sans aucun dépassement budgétaire. Danny Elfman signe la musique ; c'est le début d'une longue et fructueuse collaboration entre le compositeur et le réalisateur. Succès surprise au box-office, le premier long métrage de Tim Burton divise la critique.

Lucide, Burton refuse de réaliser la suite des aventures de Pee-Wee afin de ne pas être catalogué. Trois ans plus tard, il est désigné pour réaliser Beetlejuice (personne qu'il a lui même imaginé). Avec ce film, qui est, selon ses propres mots, une version parodique de L'Exorciste, il pose un peu plus les bases de son univers joyeusement morbide, délicieusement poétique et comique. Emmené par l'interprétation totalement déjantée de Michael Keaton, le film cartonne et récolte soixante-treize millions de dollars aux États-Unis seulement, et reçoit un Oscar pour le maquillage.

La Warner propose à Tim Burton de réaliser Batman, avec un budget de trente cinq millions de dollars. Séduit depuis toujours par la face cachée, la double personnalité de Batman, Burton accepte. Il part à Londres, aux Pinewood Studios. Burton désire s'éloigner un peu de la folie qui entoure ce projet. Malgré tout, il est sans cesse sous pression : son choix de prendre Michael Keaton pour interpréter le justicier masqué est contesté. Le costume en tissu bleu de la série devient noir, avec une fausse musculature. De plus, le cinéaste cherche à créer un univers visuel assez noir pour illustrer la part sombre du héros et le thème du double. Les décors se veulent assez proches de l'expressionnisme allemand et du cinéma de Fritz Lang. La Warner est inondée de plus de cinquante mille lettres de protestations. Mais le cinéaste, soutenu par ses principaux acteurs, ne veut rien lâcher. Il veut effectuer un retour aux sources qui prête à discussion, voire à polémique chez certains fans. Vincent Price lui écrit pour lui témoigner son soutien. Le film rapporte quatre cent millions de dollars à l'échelle mondiale, et l'Oscar de la meilleure direction artistique. Burton a désormais les coudées franches, mais le tournage l'a moralement vidé. Il souhaite revenir à un film plus intimiste. Ce sera Edward aux mains d'argent.

Le cinéaste choisit la Floride pour mettre en scène ce film aux échos largement autobiographiques. C'est également la rencontre entre Burton et l'acteur Johnny Depp. Tant pour l'un que pour l'autre, l'alchimie est parfaite. Nouvelle rencontre cinématographique entre le fan et l'idole, Vincent Price tient le rôle de l'inventeur d'Edward, son dernier rôle à l'écran. Une interprétation bouleversante selon Burton. Véritable plaidoyer pour la tolérance, avec les excellentes interprétations de Johnny Depp et de Winona Ryder, ainsi que la musique de Danny Elfman, ce quatrième long métrage est conçu comme une fable noire mêlant fantastique et merveilleux et confrontant l'imaginaire du cinéaste à la représentation d'une banlieue américaine normative et cruelle. Le film est salué par l'ensemble de la critique comme un chef-d'œuvre.

En 1992, il accepte de réaliser le deuxième volet des aventures de Batman. Les dirigeants de la Warner, qui se sont mordus les doigts d'avoir refusé Edward aux mains d'argent, donnent donc une entière liberté artistique à Burton qui place le tournage à Burbank, sa ville natale. Le cinéaste délaisse alors le personnage de Batman, exploré dans le premier épisode, pour s'intéresser à la personnalité des méchants. Encore plus noir, macabre et torturé que le premier, ce nouvel opus qui prend des allures de conte gothique pose encore une fois problème, car la production reçoit de nouvelles lettres de protestations, non pas des fans mais des parents qui jugent le film trop effrayant pour leurs enfants. Néanmoins, le film triomphe au box-office

L'année suivante, un nouveau film de Burton arrive sur les écrans : L'Étrange Noël de monsieur Jack. Le scénario est basé sur un poème écrit par Burton à l'époque où il était chez Disney.Il s'agit d'un film d'animation image par image, une technique artisanale pour laquelle Burton a une grande passion. La mise en scène va nécessiter trois ans. C'est Henry Selick qui est chargé de la réalisation, mais Burton l'a surveillé très étroitement. Le film est produit par Disney, propriétaire du poème. Pour la troisième fois consécutive, l'action se déroule à l'époque de Noël. Tim Burton donne libre cours à sa passion pour la fête d'Halloween. Danny Elfman compose les mélodies, mais également des chansons qui transforment le poème en une comédie musicale. Burton et Elfman se disputent souvent car, si les chansons s'insèrent très bien dans l'histoire et ne la ralentissent pas, elles nécessitent des aménagements scénaristiques. Cela a pour effet que les deux amis se fâchent ; une brouille qui durera trois ans.

En 1994, Burton met en scène Ed Wood, récit de la vie farfelue d'Edward Davis Wood Junior, réalisateur affublé de façon posthume du titre de « plus mauvais réalisateur de tous les temps ». Il sollicite Johnny Depp pour incarner un nouvel Edward qui, comme le précédent, entretient de nombreuses connexions avec son univers et sa vie. Le film remporte deux Oscars : Martin Landau décroche la statuette du meilleur second rôle pour son interprétation de Bela Lugosi et Rick Baker celui du maquillage, mais le film ne s'inscrit pas au box-office. Tim Burton connaît son premier échec commercial.

Son nouveau projet est Mars Attacks!. Jonathan Gems, collaborateur de Burton depuis Batman, également scénariste et auteur de pièces de théâtre, rédige un scénario basé sur un jeu de cartes représentant des martiens et des dinosaures. Burton donne volontairement à son film un aspect ringard, dans le style des films de science-fiction à petit budget des années 1950. Malgré une pléiade de stars, le film n'emballe ni la critique, ni le public qui lui préfère Independence Day. Malgré tout, le film est un succès en France.

Néanmoins, ce deuxième échec commercial américain a un point positif : le retour de Danny Elfman à la musique. Les deux artistes ne se quitteront plus. Burton a retrouvé son pendant musical. En 1997, il fait partie du jury du 50e Festival de Cannes, présidé par Isabelle Adjani.

On lui propose de réaliser un nouvel épisode de Superman, avec Nicolas Cage dans le rôle principal, plus axé sur la psyché du personnage. Burton accepte mais après un an de travail, le projet nommé Superman Lives est interrompu au printemps 1998. Sa seule consolation est la publication de La Triste Fin du petit enfant huître et autres histoires, son recueil de dessins et de poèmes. Il se voit également proposer de nombreux projets parmi lesquels une nouvelle adaptation de la nouvelle d'Edgar Allan Poe, La Chute de la maison Usher, et Sweeney Todd : Le Diabolique Barbier de Fleet Street, la comédie musicale de Stephen Sondheim. Ce dernier projet va mettre dix ans à aboutir.

Il se retrouve pleinement dans le scénario de Sleepy Hollow : ambiance sombre et gothique, cadavres décapités en série, humour noir, démon sans tête… Kevin Yagher, responsable des effets spéciaux de la série Les Contes de la crypte, s'associe avec Andrew Kevin Walker, auteur du scénario de Seven, pour adapter la nouvelle éponyme de Washington Irving. Le tournage se fait en Angleterre, et plusieurs collaborateurs de Batman sont sollicités. Toujours peu enclin aux effets spéciaux numériques, qui sont limités au strict minimum pour un film de ce genre, Burton concentre toute l'attention de son équipe artistique sur les décors, allant jusqu'à réaliser lui-même certains arbres de la forêt. Appuyé par Johnny Depp, Christina Ricci, Michael Gough, Christopher Lee et Christopher Walken dans le rôle du cavalier sans tête, le cinéaste renoue avec le succès critique et commercial, malgré la classification R (interdit aux moins de 17 ans non accompagnés d'un adulte) aux États-Unis. Il déclare à ce propos : « en tournant Sleepy Hollow, j'ai pensé à mes réactions de spectateur enfant : je détestais que l'on me ménage, je voulais être confronté aux images, si dures soient-elles. Je me souviens de mes cris lorsque j'ai vu Le Masque du démon de Mario Bava. Crier était pourtant une des manières les plus rassurantes d'avoir peur puisque le film était une fantaisie »[15]. Elfman compose pour l'occasion une musique sombre et torturée. Sorti en 1999, le film est un grand succès international récompensé par l'Oscar de la meilleure direction artistique. Il est un récapitulatif de l'œuvre de Burton : citrouille, humour noir, ambiance gothique, moulin en feu, légende médiévale démoniaque… Par ce film, Burton paye par ailleurs sa dette à Mario Bava, maître du giallo italien.

Le XXIe siècle s'ouvre de manière ambivalente pour Tim Burton. Le succès de Sleepy Hollow, cependant très loin de ses premiers films, lui permet de retrouver le final cut, autrement dit le montage final, perdu après Ed Wood. Néanmoins, Burton n'est toujours pas en position de force. En 2001, il accepte de réaliser un remake de La Planète des singes. Pendant le tournage, il se sépare de l'actrice Lisa Marie avec laquelle il s'était fiancé huit ans plus tôt, et rencontre Helena Bonham Carter qui va devenir son épouse. Il perd également son père. Le film obtient de bons résultats, atteignant les cent soixante-treize millions de dollars de bénéfices sur le sol américain. Deux ans plus tard, le studio Columbia le contacte pour mettre en scène Big Fish. Entre-temps, sa femme lui a donné un fils. Un homme qui va devenir père mais qui va également perdre le sien dans un scénario faisant l'éloge de l'imaginaire face à la platitude du monde réel ; Tim Burton ne peut que se retrouver dans cette histoire dont les événements sont très synchrones avec sa vie. Ewan McGregor tient le premier rôle. Le style du cinéaste change d'orientation, mais sa griffe est visible : sorcière, loup-garou, géant, nains…

Il concrétise en 2005 un projet vieux de plus de quinze ans : mettre en scène le chef-d'œuvre de Roald Dahl, Charlie et la Chocolaterie. Pour la quatrième fois, Johnny Depp est en tête de la distribution. Il campe un Willy Wonka complètement survolté, rappelant le démon Beetlejuice, et dont l'apparence ressemble, à certains égards, au personnage Alex d'Orange mécanique de Stanley Kubrick. Ce dernier est cité avec la scène de la barre chocolatée télévisuelle : le film dans lequel la barre est projetée est 2001, l'Odyssée de l'espace. Le cinéaste s'installe, pour la deuxième fois, aux Pinewood Studios dont il utilise presque tous les plateaux. À titre d'anecdote, cent vingt mille litres d'un mélange couleur chocolat sont fournis par Nestlé. Danny Elfman signe la musique et prête sa voix pour le chœur des Oompas-Loompas. Si l'esthétique gothique habituelle fait place à un univers plus coloré, il n'en reste pas moins que la poésie propre à Burton demeure : le plan final avec la maison des Bucket arrosée par des canons à neige.

Quatre mois plus tard, Les Noces funèbres arrivent sur les écrans. Ce nouveau film d'animation a été tourné en parallèle de Charlie et la Chocolaterie. Pour la circonstance, Burton s'entoure de ses collaborateurs habituels : Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Christopher Lee, Albert Finney et Michael Gough notamment prêtent leurs voix aux marionnettes. Le scénario de Burton est basé sur un conte russe qu'un de ses collaborateurs lui a raconté, pendant le tournage de L'Étrange Noël de monsieur Jack. Mais, cette fois-ci, pas de dispute entre Elfman et Burton. Les deux artistes ont retenu la leçon. Le cinéaste en profite pour égratigner un peu la bourgeoisie, présentée comme terne, cynique et arriviste, et afficher sa préférence pour le monde des morts, nettement plus haut en couleur et animé. Le résultat final est saisissant, très proche des œuvres de Jean Cocteau et de Bertolt Brecht. Pour l'anecdote, Burton a avoué s'être étonné lui-même, car il a dessiné ses principaux personnages sans penser à Depp, Helena Carter, Christopher Lee. Malgré un accueil critique favorable, le film est un échec en salles.

De Vincent à Ed Wood, Tim Burton s'est fait le chantre des marginaux, des solitaires, des prétendus monstres renfermant des trésors de gentillesse. Avec Mars Attacks!, il passe à tout un groupe. Sleepy Hollow marque un nouveau cycle : celui de la famille. Big Fish, Charlie et la Chocolaterie et Les Noces funèbres poursuivent dans cette voie. L'enfant solitaire, prétendu anormal, a probablement réglé ses comptes et pense maintenant à fonder une famille.

Il retrouve la veine gothique et macabre de Sleepy Hollow avec Sweeney Todd : Le Diabolique Barbier de Fleet Street, sorti en janvier 2008 sur les écrans français. Il s'agit d'une adaptation de la comédie musicale de Stephen Sondheim, mise en scène en 1979, dans laquelle le barbier est présenté comme une victime de la société. Tim Burton sollicite Johnny Depp pour le rôle du barbier, et son épouse Helena Bonham Carter pour incarner Mrs Lovett, la vendeuse de tourtes à la viande. Alan Rickman, interprète de Severus Rogue dans les films de la saga Harry Potter, incarne le corrompu juge Turpin dont Sweeney Todd veut se venger. Tim Burton est épaulé par une équipe de techniciens d'expérience : Dariusz Wolski, directeur de la photographie de la trilogie des Pirates des Caraïbes ; Dante Ferretti, chef décorateur de nombreux films de Federico Fellini et Martin Scorsese et lauréat de l'Oscar 2004 des meilleurs décors pour Aviator ; Colleen Atwood, dessinatrice principale des costumes de Mémoires d’une geisha et Chicago qui lui ont valu tous deux un Oscar ; et Peter Owen, responsable du maquillage et de la coiffure sur la trilogie Le Seigneur des anneaux et oscarisé pour le premier volet. Le film obtient un succès critique et public mitigé mais il vaut à Ferretti un deuxième Oscar pour sa direction artistique. Ses réalisations[modifier] La Batmobile réalisée pour sa version de BatmanTim Burton est un réalisateur, amoureux des images, jouant aussi bien avec le Technicolor kitsch des années 1950 qu'avec le noir et blanc du gothique ou de la nostalgie, mais aussi un amoureux des monstres attachants qui peuplent ses délires visuels, comme dans Pee-Wee Big Adventure, Beetlejuice, Batman, Edward aux mains d'argent, Batman : Le Défi, L'Étrange Noël de monsieur Jack, Ed Wood, Mars Attacks!, Sleepy Hollow, La Planète des singes, Big Fish, Charlie et la Chocolaterie, Les Noces funèbres et Sweeney Todd : Le Diabolique Barbier de Fleet Street. Dans une interview, il dit : « … mon truc à moi ce sont les monstres. Déjà, môme, je les aimais. Je me sentais proche d'eux : en marge de la société et incompris, comme eux. De plus, j'ai toujours eu un faible pour les outsiders, ceux que l'on pense méchants alors que, en fait, ils ne le sont pas. Ce sont des personnages attachants, très intéressants à explorer. » Il figure au palmarès des réalisateurs qui rapportent le plus au monde cinématographique en termes de bénéfices. Il est cependant l'un des rares réalisateurs américains à concilier de gros chiffres au box-office avec un univers et un style très personnels et une ambition artistique certaine, par ses histoires enchantées, dans lesquelles il travaille énormément les couleurs (décors et costumes). Il est aussi un des derniers grands réalisateurs à utiliser la méthode artisanale de l'animation comme dans L'Étrange Noël de Monsieur Jack - qu'il n'a pas réalisé, contrairement à une croyance commune bien ancrée, mais qu'il a étroitement supervisé - ou dans Les Noces funèbres. L'œuvre de Burton est régulièrement analysée comme d'inspiration gothique. En 2010, il retrouve le studio Disney et réalise Alice au pays des merveilles, suite en prise de vue réelle du dessin animé des années 1950. Le film est mal accueilli par la critique mais est un succès public mondial.

Filmographie

Courts métrages
1971 : The Island of Doctor Agor
1979 : Doctor of Doom / Stalk of the Celery Monster
1982 : Aladdin and his Wonderful Lamp / Vincent / Hansel and Gretel / Luau, coréalisé et coscénarisé avec Jerry Rees
1984 : Frankenweenie
1985 : The Jar

Longs métrages
1985 : Pee-Wee Big Adventure
1988 : Beetlejuice
1989 : Batman
1990 : Edward aux mains d'argent
1992 : Batman, le défi
1994 : Ed Wood
1996 : Mars Attacks!
1999 : Sleepy Hollow
2001 : La Planète des singes
2003 : Big Fish
2005 : Charlie et la chocolaterie / Les Noces funèbres, coréalisateur avec Mike Johnson
2008 : Sweeney Todd : Le diabolique barbier de Fleet Street
2010 : Alice au pays des merveilles

Clip vidéo
2006 : Bones, The Killers

Acteur
1992 : Singles de Cameron Crowe
1994 : A Century of Cinema de Caroline Thomas
2001 : De Superman à Spider-Man : l'aventure des super-héros de Michel Viotte

Scénariste
1971 : The Island of Doctor Agor
1979 : Doctor of Doom / Stalk of the Celery Monster
1982 : Hansel and Gretel / Luau, coréalisé et coscénarisé avec Jerry Rees / Vincent
1985 : Frankenweenie
1988 : Beetlejuice
1990 : Edward aux mains d'argent
1993 : L'Étrange Noël de Monsieur Jack de Henry Selick
2005 : Les Noces funèbres

Producteur
1988 : Beetlejuice
1990 : Edward aux mains d'argent
1991 : Batman, le défi
1993 : L'Étrange Noël de Monsieur Jack de Henry Selick
1994 : Ed Wood / Cabin Boy de Adam Resnick
1995 : Batman Forever de Joel Schumacher
1996 : James et la pêche géante de Henry Selick / Mars Attacks!
2005 : Les Noces Funèbres coréalisé avec Mike Johnson
2008 : Sweeney Todd : Le diabolique barbier de Fleet Street
2009 : Numéro 9 de Shane Acker
2010 : Alice au pays des merveilles

Producteur exécutif
1989-1992 : L'Étrange Noël de Monsieur Jack de Henry Selick

Directeur artistique
1993 : Beetlejuice

Animation et effets visuels
1996 : James et la pêche géante de Henry Selick

Récompenses

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